À propos de la revue


Objectifs

Participer à la diffusion de travaux universitaires en science politique ; contribuer au débat public en confrontant les thèmes qui y sont débattus à des recherches empiriques ; intervenir dans les controverses qui traversent les sciences sociales ; nourrir le dialogue entre ces dernières, les disciplines historiques et la science politique : ce sont là les principales ambitions de Politix.
En vingt ans, cette revue, animée par des chercheurs et des universitaires, est devenue l’une des revues de référence dans son champ académique.
En permettant à de jeunes auteurs de présenter les résultats de leurs recherches, en s’ouvrant à des travaux novateurs intéressés par la dimension politique des phénomènes sociaux, Politix entend renouveler les thèmes abordés par la science politique et décloisonner ainsi la discipline dans la perspective d’un véritable débat interdisciplinaire.

Comité éditorial

C. Achin (Université Paris Dauphine, IRISSO), E. Agrikoliansky (Université Paris Dauphine, IRISSO), Y. Barthe (CNRS, CSI-Mines ParisTech), L. Bereni (Centre Maurice Halbwachs, équipe PRO) J.-L. Briquet (CNRS, CRSP-CESSP), A. Collovald (Université Nantes, CENS), Q. Deluermoz (Université Paris 13, CRESC/Pleiade), F. Desage (Université Lille 2, CERAPS), G. Favarel-Garrigues (CNRS, Sciences Po – CERI), B. Gaïti (Université Paris 1, CRPS-CESSP), C. Gayet-Viaud (CNRS, CESDIP et CEMS Institut Marcel Mauss, EHESS) B. Gobille (ENS Lyon), S. Guyon (Université de Picardie – CURAPP), J.-P. Heurtin (Université de Strasbourg, SAGE), D. Linhardt (EHESS, IMM-LIER), C. Lomba (CNRS, CRESPPA-CSU), C. Moreau de Bellaing (ENS Paris, CMH), N. Renahy (INRA, CESAER), C. Robert (Sciences Po Lyon, Triangle), F. Sawicki (Université Paris 1, CRPS-CESSP), Y. Siblot (Université Paris 8, Cresppa-Csu).

Comité de lecture

R. Banegas (Université Paris 1, CEJPMA), R. Bertrand (FNSP, CERI-Sciences Po Paris), L. Blondiaux (Université Paris 1, CRPS-CESSP), D. Cardon (Orange Labs, Laboratoire des usages), Y. Déloye (IEP de Bordeaux, SPIRIT), N. Dodier (EHESS, IMM-GSPM), O. Fillieule (Université de Lausanne, CRAPUL), B. François (Université Paris 1, CRPS-CESSP), C. Guionnet (Université Rennes 1, CRAPE), P. Hassenteufel (Université Versailles Saint-Quentin, CARPO), P. Laborier (Université de Picardie, CURAPP), P. Lehingue (Université de Picardie, CURAPP), C. Lemieux (EHESS, IMM-GSPM).

Comité scientifique

L. Boltanski (EHESS), M. Callon (Mines ParisTech), A. Cambrosio (Université McGill), C. Charle (Université Paris 1), J. Chevallier (Université Paris 2), M. Diouf (Université Columbia), M. Dobry (Université Paris 1), S. Epstein (Université hébraïque de Jérusalem), P. Favre (IEP Grenoble), D. Gaxie (Université Paris 1), J. Gerstlé (Université Paris 1), P. Geschiere (Université d’Amsterdam), J. Leca (IEP Paris), G. Lenclud (CNRS, Paris), A. Mastropaolo (Université de Turin), G. Mauger (CNRS, Paris), P. Muller (CNRS, Paris), M. Offerlé (ENS Paris), T. Tackett (Université de Californie Irvine).

Coordonnées de la rédaction

Secrétariat de rédaction de Politix
Nadia Belalimat
Université Paris 1, Département de science politique
17, rue de la Sorbonne
75231 Paris cedex 05politix@univ-paris1.fr

Référencement

AERES (Sciences politiques, Sociologie), IBSS, Scopus, SocINDEX, CSA Sociological abstracts, Web of Science

Recommandations aux auteurs

Envoi électronique
Les articles sont à envoyer en version électronique (format word) au secrétariat de rédaction de Politix : politix@univ-paris1.fr. Ils n’ont pas été publiés auparavant et ne sont pas en cours de publication ailleurs. Ils doivent être accompagnés, sur le même fichier, des coordonnées précises de l’auteur – Nom, Prénom, adresse postale et adresse électronique, statut, institution de rattachement – ainsi que d’un résumé en français et en anglais (titre compris) et d’une courte présentation de l’auteur, mentionnant les thèmes de recherche et des publications récentes (dix lignes maximum).Nombre de signes maximum Article : Les articles ne doivent pas excéder 60 000 signes (notes de bas de page et espace compris).
Notes de lecture : Les notes longues comprennent entre 12 000 et 18 000 signes. Les notes courtes entre 3 000 et 5 000 signes. Il n’y a jamais de références infrapaginales, les références à d’autres livres ou articles sont à insérer dans le corps du texte et à mettre entre parenthèses.Présentation
Times, corps 12 (titre : corps 16, sous-titre : corps 14). Interligne simple.
Deux niveaux de subdivision : section (en gras), sous-section (en italique).
Vos nom et prénom suivent le titre et sous-titre.
Évitez de procéder à d’autres mises en forme de votre texte.
N’utilisez pas de feuille de style. N’utilisez pas « End note » ou des logiciels équivalentsConsignes rédactionnelles
Citations toujours entre guillemets à la française («…»), quelle que soit la longueur. En cas de besoin, utiliser des guillemets à l’anglaise dans un passage déjà entre guillemets (“…”).
Toute modification d’une citation (suppression, adjonction, remplacement de mots ou de lettres, etc.) par l’auteur du texte est signalée par des crochets droits […].
Tous les mots d’une langue autre que le français sont mis en italiques (sine qua non).
Les noms propres sont en lettres minuscules (et non en capitales). Écrire « les années 1980 » (et non « les années 80 » ou « les années quatre-vingt »).
Autant que faire se peut, limitez le nombre et la longueur des notes. Proposez un titre court ; idem pour l’éventuel sous-titre.

Présentation des références en bas de page
Pour un ouvrage : Dubois (V.), La vie au guichet. Relation administrative et traitement de la misère, Paris, Economica, 1999 (s’il s’agit d’un ouvrage en anglais, la première lettre de chaque mot doit être en majuscule) (dans le cas où il y a plusieurs auteurs, les noms sont séparés par une virgule, sans « et »).
Pour un ouvrage collectif : Lagroye (J.), dir., La politisation, Paris, Belin, 2003 (s’il s’agit d’un ouvrage en anglais, remplacer dir. par ed. ou eds).
Pour une thèse : Willemez (L.), Des avocats en politique. Contribution à une socio-histoire de la profession politique en France, thèse pour le doctorat de science politique, Université Paris 1, 2000.
Pour le chapitre d’un livre collectif : Bachir (M.), « La consultation publique. Nouvel outil de gouvernabilité et transformation des registres et répertoires d’action publique », in François (B.), Neveu (E.), dir., Espaces publics mosaïques. Acteurs, arènes et rhétoriques des débats publics contemporains, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 1999.
Pour un article : Elster (J.), « Argumenter et négocier dans deux Assemblées constituantes », Revue française de science politique, 44 (2), 1994.
Pour une communication : Cardon (D.), Heurtin (J.-P.), « Risquer son opinion. La mise à l’épreuve de la parole des auditeurs à RTL », communication au colloque du CEVIPOF, L’engagement politique : déclin ou mutation ?, Paris, 4-6 mars 1993.

Les numéros publiés entre 1987 et 2004 compris sont disponibles sur le site persee.fr
(http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/revue/polix)